Les problèmes de la pollution et visuelles dans la capitale ont commencé à être discutées davantage avant les élections communales en 2014. Depuis, plusieurs décisions ont été prises, mais les résultats ne sont pas visibles. Les panneaux publicitaires de tous genres et dimensions bordent bien des rues et routes en Slovaquie, ils polluent visuellement les sites environnants et nombreux parmi eux sont présents sans avoir reçu les autorisations requises indispensables. Ils constituent ce que l'on pourrait nommer « smog virtuel » ou « pollution visuelle » en bordure d'autoroute, sur les toits et façades des immeubles, sur les autobus.
Le citoyen normal ne le sent pas pour le moment l'application de cette nouvelle loi. Et en cette période préélectorale des élections législatives, des bilboards dans la capitale mais aussi dans d'autres villes slovaques et aux bords des rues sur toute la Slovaquie sont beaucoup plus présents. Plusieurs partis politiques sont menacés des amandes entre 10 000 à 100 000 €. La raison en est qu'ils ne se sont pas présentés à ses bilboards, ils n'ont pas indiqué, selon les nouveaux règles, sur leurs bilboard le fournisseur et le client. La Commission électorale d'Etat enregistre ensemble avec le ministère de l'intérieur 6 avis de la violation à la loi.
La publicité est tellement omniprésente dans l'espace public que des voix de plus en plus nombreuses s'élèvent pour dénoncer cet envahisseur. Selon Matus Cupka de l'Association des citoyens « Patrouille verte » l'intérêt privé est de vendre. Tout simplement.Cela confine à la destruction de la pensée de l'homme.
Pour illustration, récemment encore, rien quedans la capitale slovaque, ou vit une population un peu supérieur à 400 000 habitants, ont été en place de l'ordre de 2000 billboards nantis d'une autorisation en bonne et due forme. Une estimation a fait ressortir que 500 autres y ont été installés illégalement. Les sanctions menacent plusieurs sociétés qui ont construit dans la capitale ses constructions publicitaires sans autorisation. Un nouveau hobby-market qui a ouvert ses portes début février a attiré l'attention du public, hormis la campagne massive légale, par l'emplacement illégal des panneaux publicitaires sur les éclairages publics, les sémaphores, les gazons aux bords des routes.
Sur toute la Slovaquie, la situation la plus précaire quant à la pollution visuelle s'est présentée aux environs de la ville de Zilina ou a dénombré récemment environ 6000 panneaux publicitaires dont seulement 200 ont été légaux appuyés sur des contrats signés. La municipalité s'est mise activement à la lutte et à la suppression des panneaux publicitaires illégitimes. Selon le maire de la ville de Zilina, Igor Choma l'emplacement des publicités extérieures doit porter une certaine culture et des règles bien identifiées. Les pays développés n'ont pas encombrés ses territoires par les bilboards et ainsi ils protègent l'allure esthétique du pays.