Fièvre aphteuse : il faut unir nos forces

Fièvre aphteuse : il faut unir nos forces

La propagation de la fièvre aphteuse parmi les animaux a un impact sérieux sur l’économie slovaque. Si la maladie se propageait à la majeure partie du territoire, elle menacerait l’ensemble des secteurs agricoles et alimentaires et aurait des effets dévastateurs. Le président Peter Pellegrini l'a déclaré aux médias lors d'une visite à Banská Bystrica hier. Il a demandé que le monde politique n’instrumentalise pas la situation. Et de déclarer : « Cela ne nous aidera pas. Nous devons maintenant tous unir nos forces pour faire face à cette crise difficile. » Il n’y a pas encore eu de nouveaux foyers de fièvre aphteuse et l’objectif est d’accélérer l’abattage du bétail dans les exploitations touchées. C’est le résultat d’une réunion de la cellule centrale de crise. La situation d'urgence est en vigueur depuis le mardi 25 mars, mais les ministres n'ont annoncé aucune nouvelle restriction pour la population. L'infection reste confirmée dans quatre municipalités du district de Dunajská Streda. Actuellement, une usine de traitement près de Žilina et une zone militaire près de Levice sont utilisées pour éliminer les animaux tués. D’autres emplacements sont toutefois également envisagés.

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Jacques Hoflack Foto: TASR

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