Lors des fêtes de Pâques en Slovaquie d’aujourd’hui, les rencontres familiales sont plus importantes que leurs éléments spirituels et religieux. C’est ce qu’explique dans sa nouvelle étude l’ethnologue Katarína Popelková de l’Institut d’ethnologie et d’anthropologie sociale auprès de l’Académie slovaque des sciences. Dans le cadre de ses recherches, l’auteur s’appuie sur les résultats d’un sondage en direct, effectué en avril 2020, c’est à dire donc lors de la première vague de la pandémie du Covid-19. A noter que la pandémie a changé fondamentalement le caractère des fêtes de Pâques.
Kristína Hanáková Foto: TASR